5 tendances UI design à suivre en 2023

Proposer des expériences innovantes, des idées originales, des sites modernes et inspirants, répondre aux nouvelles exigences des utilisateurs et connaître les dernières technologies en vogue, autant de raisons de suivre les dernières tendances UI design. Et 2023 ne manque pas de nouveautés !


Le neumorphisme : donner du relief aux interfaces

Le neumorphisme combine le flat design (design à plat) et le skeuomorphisme (conception d’éléments graphiques qui imitent des sujets du monde réel). Ce style joue avec les ombres et les lumières afin de donner du relief à une interface. Il apporte un aspect presque 3D.

Notre avis : Si le neumorphisme permet de créer des interfaces attirantes et élégantes, il ne répond pas aux principes de base de l’UX design et de l’ergonomie, ce qui nuit à l’accessibilité des interfaces, en particulier sur des fonds blancs. Il faut donc l’utiliser avec parcimonie et le privilégier sur des fonds sombres.

Ecran d'une application illustrant le neumorphisme

Le summary grid ou CSS grid : une conception web réactive

En 2023, et bien qu’elle existe depuis un certain temps, la disposition en grilles CSS est devenue populaire. Flexible et accessible, ce type de mise en page permet aux développeurs web de créer des conceptions web réactives complexes.

Ce style donne aux sites un aspect propre avec des blocs. Il facilite la conception de sites responsive pour les mobiles.

Notre avis : De plus en plus visible, le CSS grid est très bien adapté au mobile first.


Les illustrations 3D : une tendance UI design qui prend de l’ampleur

Visuellement attirante, la 3D permet d’ajouter de la profondeur aux images. De plus en plus recherchée, surtout dans l’univers des applications mobiles et du web, la 3D était tendance en 2022, mais avec la popularité croissante des technologies VR et AR, elle continue de prendre de l’ampleur.

Le principal défi face au développement de la 3D sera de savoir réaliser et intégrer les illustrations 3D, et ce, sans ralentir le temps de chargement des pages.

Notre avis : Les illustrations 3D offrent une expérience utilisateur singulière et mettent en avant un produit ou un service de façon originale.

Illustrations 3D, tendances ui design 2023

Le gradient : le retour des dégradés dans les tendances UI design

Les dégradés de couleurs ne sont pas une nouveauté. Utilisés il y a quelques années, ils semblaient un peu dépassés, mais en 2023 cela change. Les dégradés modernes sont beaucoup plus complexes. Ils partagent les caractéristiques des gradients maillés et des couches de floues glassmorphiques (effet qui donne l’illusion d’un verre flouté).

Notre avis : Le gradient est une des tendances UI design à adopter pour donner un aspect moderne à un site.


L’arrivée de l’intelligence artificielle dans les tendances UI design

Les IA permettent désormais de générer des logos, des photos ou de créer des illustrations, voire des œuvres d’art. Peu accessibles jusqu’à présent, de nombreux programmes d’IA se sont développés, comme DALL E d’Open AI et Stable Diffusion qui proposent de générer des images à partir d’une description textuelle.

Si les résultats proposés par l’IA ne sont pas toujours adaptés aux besoins et aux attentes des graphistes, des développeurs et des utilisateurs de sites et applications web, l’utilisation d’un générateur d’art IA est aujourd’hui un outil supplémentaire à la disposition des graphistes.

L’IA peut ainsi les aider à améliorer leurs compétences, à développer leur créativité, à gagner du temps dans leur projet, à rester à jour avec les dernières tendances UI design, et à jouer avec leur imagination.

Notre avis : Aujourd’hui, le seul inconvénient de l’IA, c’est que les outils proposés ne sont pas très accessibles. Ils sont payants et ne sont pas faciles d’utilisation.


À côté de ces nouvelles tendances UI design, d’autres styles qui existaient en 2022 persistent cette année. Neo-brutalisme, nostalgic design, dark mode et animations, découvrez dans notre vidéo toutes les tendances UI design 2023.


Par Cindy & Victoria

Préparer le développement d’une application métier performante

Que vous envisagiez la refonte ou le développement d’une application métier, plusieurs étapes sont nécessaires pour vous aider à préparer et à mener à bien votre projet.


Qu’est-ce qu’une application métier ?

Le terme d’application métier recouvre un grand nombre d’outils et de situations. Par définition, il s’agit d’une application développée pour faciliter la gestion d’une entreprise en répondant à des besoins métiers. Or, ceux-ci sont nombreux et très divers, les applications métiers peuvent donc également prendre des formes très différentes. Il peut par exemple s’agir d’un outil qui permet :

  • d’automatiser les tâches administratives ou un processus métier,
  • de modéliser un processus de gestion, comme la gestion électronique des documents (GED),
  • de gérer des interactions entre plusieurs groupes d’utilisateurs,
  • de faire le lien avec d’autres applications ou avec d’autres entreprises (fournisseurs, etc.).

L’application métier peut même être un savant mélange de tout cela.


4 étapes pour bien préparer le développement d’une application métier

1- Déterminer les raisons et les enjeux du projet

Pourquoi votre entreprise envisage de créer une application ? S’agit-il d’une refonte d’une application préexistante, du lancement d’une nouvelle offre, ou la création d’une application métier fait-elle partie d’un projet plus vaste de digitalisation de votre entreprise ?

Selon la situation, le développement d’une application métier pourra nécessiter :

  • de la part du prestataire, une coordination avec les autres acteurs en charge de la digitalisation,
  • de votre part : la transmission du business model s’il s’agit d’une nouvelle offre, ou la présentation des principaux chiffres relatifs à l’ancienne application (nombre d’utilisateurs, etc.) et des raisons qui vous poussent à la changer (insatisfaction des utilisateurs, dysfonctionnements, etc.).

2- Identifier les objectifs de la nouvelle application

Les objectifs pour lesquels vous souhaitez créer une application métier peuvent être très variés :

  • Les objectifs techniques : c’est le cas, par exemple, si l’architecture technique de votre application ne vous permet pas de développer certaines fonctionnalités. Ces objectifs techniques concernent donc une application existante.
  • Les objectifs fonctionnels : il s’agit d’offrir de nouvelles fonctionnalités ou de permettre de nouveaux usages aux utilisateurs de l’application. Cela peut passer par le développement d’une application métier nouvelle ou l’amélioration d’une application existante.
  • Les objectifs de rationalisation : il s’agit de tous les éléments qui permettent de structurer, d’optimiser les performances l’entreprise et de réduire les coûts de traitement, tout en simplifiant la vie des utilisateurs, par exemple en automatisant des tâches ou des processus.

3- Définir le fonctionnement et les fonctionnalités clés de l’application métier

Pour mener à bien le développement d’une application métier, vous devez avoir une idée claire du futur fonctionnement de celle-ci. Pour cela, vous pouvez :

  • présenter les étapes clés du processus métier qui sera automatisé grâce à l’application,
  • déterminer les fonctions associées à chaque groupe d’utilisateurs (administrateurs, back office, etc.) constituant chacun un bloc fonctionnel et préciser éventuellement la nature des composants nécessaires (listes, formulaires, affichage sur le Dashboard, etc.),
  • synthétiser la présentation de votre application à l’aide d’outil comme la product vision box.

Vous devrez également établir une liste des fonctionnalités clés que vous estimez nécessaires d’intégrer à votre application en les classant par importance.


4- Rédiger un cahier des charges clair pour le développement d’une application métier

Si vous faites appel à un prestataire extérieur pour développer votre application métier, mais cela est également valable pour présenter votre projet en interne, vous allez devoir rédiger un cahier des charges complet regroupant tous les éléments précédemment développés.


Ça y est, la phase de préparation pour le développement d’une application métier est terminée ! Il ne reste plus qu’à lancer le projet.

Pour vous accompagner dans la création ou la refonte de votre application, vous aurez certainement besoin de l’accompagnement de professionnels expérimentés. Alors, n’hésitez pas à contacter les équipes de The Coding Machine !

Créer une application sans coder, avec quel outil no code ?

Pour créer une application sans coder, deux options s’offrent à vous : faire appel à des professionnels spécialisés dans le développement comme The Coding Machine, ou tenter de développer votre application seul en utilisant des plateformes no code.

Face aux nombreuses solutions no code, difficile de s’y retrouver !

Pour vous aider à faire le bon choix d’outil no code, découvrez les principaux éléments à analyser.


1- Cadrer le projet et fixer le budget pour créer une application sans coder

Le choix de la bonne solution no code est lié au projet d’application ou de site web. Avant de vous lancer dans la création d’une application sans coder, il est donc indispensable de préparer votre projet et d’avoir une idée précise de votre future application ou plateforme :

  • Quels sont les objectifs de l’application ou du site ?
  • Qui seront les utilisateurs ?
  • Quelles sont les fonctionnalités essentielles ?
  • Quel est le design envisagé ?
  • Quel est le budget alloué au développement de l’appli ?

Vous pourrez ainsi faire une première sélection des solutions no code.


2- Déterminer les fonctionnalités souhaitées

Formulaire, site web vitrine, application web responsive, application mobile native, outil de gestion des données ou d’envoi d’e-mails, ou un service de paiement, en fonction du type de projet, vous n’aurez pas besoin des mêmes fonctionnalités. Les solutions no code recommandées seront donc différentes selon votre projet.

Ainsi, si des outils spécifiques, comme MailChimp pour l’envoi d’e-mails ou Stripe pour le traitement des paiements en ligne, seront adaptés pour développer une fonctionnalité particulière, des outils plus complets comme Bubble seront nécessaires pour créer une application sans coder de A à Z.


3- Choisir une solution no code adaptée à vos compétences

Si les plateformes no code permettent de créer une application sans coder et donc sans posséder aucune compétence informatique, leur utilisation peut nécessiter un certain délai pour se former à l’outil et prendre en main toutes les fonctionnalités proposées.

Parmi les différentes offres no code, certaines sont plus simples d’utilisation et guident l’utilisateur à chaque étape du développement de son projet.

Au contraire, d’autres outils no code sont plus complexes. Ils prennent plus de temps pour se former, ce qui peut avoir un impact sur le temps dédié au développement de l’application, voire ils nécessitent d’avoir recours à des intervenants spécialisés, ce qui affectera le budget.


4- Vérifier la possibilité de combiner plusieurs services

La plateforme no code choisie pour créer une application sans coder n’est pas toujours le seul outil nécessaire au développement d’un projet. Pour éviter de perdre du temps, vous avez donc intérêt à vérifier la compatibilité entre les différents services utilisés.

Par exemple, si vous avez déjà réalisé des maquettes graphiques pour votre projet, certaines solutions no code comme Bubble vous permettront de les intégrer directement.

De la même façon, renseignez-vous sur la possibilité d’exporter votre projet vers une autre plateforme no code. À défaut, vous devrez tout reprendre à zéro à chaque changement d’outil.


5- S’assurer de la stabilité de la solution no code

Le no code étant en plein essor, il existe de multiples offres ! Toutefois, pour faire le bon choix, il faut être vigilant et vérifier que la solution proposée pour créer une application sans coder est stable et pérenne.

Pour prévenir tout risque, mieux vaut donc opter pour des solutions utilisées par une large communauté, reconnues et présentes sur le marché depuis plusieurs années.


6- Se renseigner sur la flexibilité l’outil low code

Ajouter quelques lignes de code pour créer par exemple des plugins n’est pas toujours possible dans les plateformes no code, mais certains outils qualifiés de low code le permettent. Si vous avez les compétences nécessaires pour écrire des lignes de code, vous pouvez alors vous orienter vers ces solutions qui vous permettront de personnaliser votre projet.


Pour aller plus loin sur le no code et découvrir les fonctionnalités détaillées des plateformes les plus utilisées pour créer une application sans coder, n’hésitez pas à télécharger notre livre blanc.

Échec d’un projet : être accompagné pour l’éviter

Une des principales causes d’échec d’un projet est le défaut d’accompagnement lors de la préparation et du développement de celui-ci.

Parce que la réussite de votre projet est essentielle pour nous, chez The Coding Machine, nous donnons une importance particulière à l’accompagnement de nos clients.

Proximité, compréhension, challenge sont les maîtres-mots pour un démarrage de projet réussi.


Être accompagné pour maîtriser les risques

Qu’il s’agisse de développer une application mobile, de créer une plateforme web ou de modifier une application métier, tout projet contient des risques. Mais ces problèmes, s’ils sont diagnostiqués et résolus à temps, ne remettent en cause la réussite de votre projet. Au contraire, s’ils ne sont pas corrigés rapidement, qu’ils s’aggravent et se cumulent, ces risques peuvent entraîner l’échec d’un projet.

Mieux vaut donc savoir faire face aux problèmes !

Malheureusement, dans l’effervescence de la préparation et du développement du projet, il est souvent difficile de prendre le recul nécessaire pour identifier le problème et déterminer les solutions les plus adaptées. Le suivi du projet par des professionnels s’avère alors particulièrement utile pour éviter l’échec d’un projet.

Chez The Coding Machine, cet accompagnement prend la forme d’ateliers à chaque étape clé du développement de votre projet.


Démarrer son projet sur des bases solides

  • Atelier de kick off : Pour bien démarrer, il faut apprendre à se connaître, savoir avec qui nous sommes amenés à travailler. C’est pourquoi nous exigeons autant de notre côté que de celui du client d’avoir des équipes dédiées et disponibles. L’intérêt est de rassurer et de créer un lien de confiance.

Notre rôle est aussi d’apporter notre expertise en proposant un périmètre à notre client et en définissant un planning comprenant notamment les différentes phases du projet et les livrables.

Enfin, il est primordial de ne pas avoir peur de parler des risques inhérents à votre projet. Cela permet de les identifier clairement et de trouver des solutions en amont : un bon moyen d’éviter l’échec d’un projet.

  • Atelier d’architecture : Un projet ne peut pas se construire sans des fondations. Pour cela, notre direction technique relève les facteurs déterminants pour définir une architecture solide et fiable : En quoi consiste le projet ? Comment gère-t-on la panne ? Quel est le niveau de trafic attendu ?

À l’issue de cette nouvelle étape, nous sommes capables de fournir une stack technique, les normes de développement à appliquer, ainsi que les documents d’architecture et d’installation propres à votre projet.


Concevoir son projet

Après avoir défini les bases, il est temps de se plonger au cœur du projet. 

  • Atelier UI/UX design : Un projet réussi, c’est aussi un projet qui sait provoquer un effet wouahou ! Avec nos UI/UX en interne ou avec nos partenaires, nous définissons en compagnie de nos clients l’ensemble des interfaces, la charte graphique et le guide de style à appliquer. L’idée est de définir une expérience, un parcours utilisateur et d’implanter un design par-dessus. Suite à cela, nous livrons les wireframes à notre client. 
  • Ateliers annexes : Certains projets nécessitent un accompagnement particulier. Nous faisons ainsi appel à nos partenaires pour gérer des besoins de SEO, avec lesquels nous définissons les mots-clés, le maillage du site, la structure des pages, etc. Il est parfois aussi nécessaire de mener des ateliers d’hébergement pour certains de nos clients afin de fournir les serveurs adéquats.
  • Atelier de conception : On arrive à la fin de la conception du projet. Le besoin du client est défini, il est désormais temps de finaliser les spécifications, de livrer des spécifications fonctionnelles détaillées et de s’attaquer au développement. 

Faire le bilan avant le lancement pour prévenir l’échec d’un projet

  • Atelier post mortem : À la fin de la phase de développement, nous aimons faire le point avec notre client sur le déroulement du projet, mais aussi de préparer les prochaines étapes si besoin : mise en production, maintenance, créations de nouvelles fonctionnalités, etc. C’est aussi un moyen de constater l’absence d’échec d’un projet et d’y mettre fin définitivement. 

Comme vous venez de le voir, vous pouvez compter sur les équipes de The Coding Machine pour vous accompagner à chaque étape du développement de votre projet.

Et si vous n’avez pas pu éviter l’échec d’un projet, tout n’est pas perdu ! Le sauvetage de votre projet est peut-être possible !

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4 ateliers pour réussir le lancement d’un projet web

Après avoir abordé les grands principes de la phase de conception dans notre précédent article, découvrez les différents ateliers au cours desquels nos équipes vous accompagneront pour vous permettre de réussir le lancement d’un projet web, au travers d’un exemple concret : l’entreprise DISRUPTOR2000.


Le projet de l’entreprise DISRUPTOR2000

DISRUPTOR2000 nous contacte pour développer une application révolutionnaire de mise en relation de particuliers sur un seul et unique réseau social : DISRUPTBOOK.

Bonne élève, elle nous fait parvenir un cahier des charges extrêmement détaillé sur la base duquel nous lui fournissons une estimation financière et une proposition d’accompagnement sur-mesure.

Nous avons déjà :

  • Identifié les éléments critiques de l’application : rôle de l’utilisateur, interaction via des formulaires, volumétrie des données échangées, publication de photos, vidéos, messagerie instantanée, etc.
  • Défini une base technique solide : un front en VueJS et un back en Symfony par exemple.
  • Déterminé les éléments clés de l’application, à savoir : l’interaction entre les utilisateurs, la viralité de l’application et l’expérience utilisateur.
  • Noté que DISRUPTOR2000 veut disposer de technologies flexibles qu’elle pourra faire évoluer et ne pas dépendre d’un outil sur étagère.

Mais pour réussir le lancement d’un projet web, nous avons encore besoin d’informations. Pour cela, nous mènerons à bien 4 ateliers.


Revue des interfaces et analyse du besoin : le 1er atelier pour réussir le lancement d’un projet web

Cet atelier va nous permettre de revoir ensemble toute la proposition d’accompagnement ainsi que le cahier des charges préalablement rédigé. Nous validerons rapidement les éléments qui ne font pas débat (types d’utilisateurs, gestion des droits, etc.) et nous nous attarderons sur les fonctionnalités un peu plus complexes.

L’objectif n’est pas seulement de valider une liste de fonctionnalités, mais plus d’être force de proposition sur la manière de traiter les différents objets métiers.

Grâce à notre expertise et à notre expérience auprès de sociétés évoluant dans des secteurs variés, nous pourrons vous proposer des schémas éprouvés, sur lesquels il peut être judicieux de se calquer pour assurer le bon fonctionnement de l’application.

Si notre vision et celle du client divergent, nous ouvrons le débat et validons ensemble la manière de traiter chaque sujet.

Nous fournissons ensuite un document détaillé récapitulant le comportement de l’application dans son ensemble.


Atelier 2 : Design UI/UX

Pour ce deuxième atelier, l’entreprise DISRUPTOR2000 a déjà travaillé sur un design et des parcours utilisateurs. Ils souhaitent conserver l’ensemble des éléments déjà réalisés, mais sont plutôt réceptifs à l’idée de recevoir des conseils sur des points d’amélioration. 

Nous avons donc réalisé un audit graphique en amont de l’atelier que nous leur présenterons en séance et nous intégrerons les modifications validées à la fin de l’atelier.


Atelier 3 : Architecture

Pour réussir le lancement d’un projet web et bien que nos interlocuteurs n’aient pas toujours les compétences techniques nécessaires pour juger le type de technologies choisies, nous tenons à leur présenter un document d’architecture technique en leur expliquant les différents composants.

Nous en profitons pour justifier l’emploi de chaque outil en le mettant en rapport avec les besoins du client.

DISRUPTOR2000 peut ainsi vérifier grâce à ce document, que l’ensemble des besoins exprimés est satisfait et nous faire part de ses éventuelles remarques.


Le dernier atelier pour réussir le lancement d’un projet web : La validation des spécifications

Ce quatrième atelier va nous permettre de présenter l’ensemble des livrables à DISRUPTOR2000 pour s’assurer de la bonne compréhension et de la bonne traduction de leurs besoins en spécifications fonctionnelles et techniques.

Ce dernier atelier, essentiel pour réussir le lancement d’un projet web, permet de valider définitivement les différents choix faits lors des précédents échanges.


DISRUPTOR2000 nous a fait quelques remarques après la réception de livrables :

  • Remarque sur le livrable 1 : “Finalement, je ne souhaite pas que certains utilisateurs aient plus de droits que d’autres dans un premier temps. Je ferai une partie pour les entreprises dans un second temps, une fois que le modèle sera bien assis, sortons cette partie du périmètre de l’application”.

Notre réponse : Pas de problème ! Nous pouvons mettre de côté cette partie de la spécification et la récupérer pour mettre en place des évolutions dans un second temps 😉

  • Remarques sur le livrable 2 : “Super travail TheCodingMachine, je suis impressionné ! Mais finalement je ne suis pas sûr que le bleu soit la couleur principale la plus adaptée, peut-on tout faire en vert ?”

Notre réponse : Bien sûr, nous vous fournirons l’ensemble des écrans déclinés en vert.

“Parfait et peut-on faire une page d’accueil complètement différente pour voir ce que ça donne ?”
Malheureusement, à ce stade, nous ne pouvons faire que des adaptations mineures (couleur, emplacements des éléments, etc.) sur les maquettes proposées. L’atelier design et les itérations sont là pour valider l’identité graphique de votre application. Si vous le souhaitez, nous pouvons faire intervenir notre équipe Design en marge de ce projet pour vous faire d’autres propositions, mais cette prestation sera distincte du projet.

  • Remarque sur le livrable 3 : “Bon de toute façon, la technique, je vous fais confiance, je ne comprends pas grand chose. Mais cela fait un peu peur parce que je ne peux pas avoir le contrôle, comment pouvez-vous m’assurer que tout va bien se passer ?”

Nous travaillons essentiellement avec des technologies développées en Open Source. Ces outils sont notamment développés par Google, Amazon ou Facebook, et sont suivis par les plus grandes communautés de développeurs. Ces technologies, totalement évolutives et maintenables, sont donc parfaites pour réussir le lancement d’un projet web.

De plus, vous serez propriétaire du code que nous allons vous livrer, si vous souhaitez embaucher des développeurs en interne, les bonnes pratiques techniques que nous mettons en place leur permettront de le reprendre et de le faire évoluer très facilement. Nous documentons aussi toutes les applications que nous développons et réalisons régulièrement des guides plus fonctionnels dans les cas d’applications complexes pour faciliter l’adhésion à l’outil et permettre une prise en main rapide.


Si vous aussi vous souhaitez réussir le lancement d’un projet web, prenez le temps de rédiger un cahier des charges clair et complet grâce à notre livre blanc et n’hésitez à vous faire accompagner par les équipes de The Coding Machine.

Plateformes no code : pourquoi un tel essor ?

Développer des applications web ou mobiles sans écrire une seule ligne de code : c’est la promesse des plateformes no code. Avec des utilisateurs de plus en plus nombreux, ces nouveaux outils de développement web sont en plein essor.

Découvrez pourquoi le no code suscite un tel engouement.


Qu’est-ce que le no code ?

Les plateformes de développement no code

Les plateformes no code, c’est-à-dire « sans code », mettent à la disposition de leurs utilisateurs un ensemble d’outils permettant de développer un site web ou une application mobile sans utiliser la programmation informatique. Parmi les plateformes les plus connues, on peut citer : bubble, Airtable ou AppSheet.

Fini les balises et les lignes de code ! Grâce à ces plateformes, vous pouvez créer une application sans jamais coder. Le développement web devient ainsi accessible au plus grand nombre.

No code vs low code, quelle différence ?

Alors que développer une application no code permet de faire totalement abstraction du code source, le low code, qui signifie littéralement « peu de code », permet de simplifier le développement web avec des fonctionnalités préétablies, mais nécessite l’intervention d’un développeur pour les développements spécifiques.


Pourquoi les plateformes no code attirent ?

Les raisons de l’essor du no code sont multiples, mais sont liées d’une part au contexte et d’autre part aux caractéristiques avantageuses des plateformes no code.

Un environnement propice au développement du no code

Les plateformes no code se développent actuellement, car les besoins et les utilisations du numérique ont évolué :

  • Les applications ne cessent de se multiplier : il faut donc répondre à cette demande en développant plus d’applications, et ce, en un minimum de temps.
  • Les utilisateurs du web ont changé : avec la démocratisation du numérique, les utilisateurs sont, pour une grande majorité, actifs sur le web et peuvent être amenés à produire des contenus sur les réseaux sociaux, voire à créer des sites web.
  • Une pénurie croissante de développeurs informatiques : du fait du manque de professionnels du codage, le lancement de certains projets et le déploiement de certaines applications peuvent être ralentis, voire stoppés. Or, cette situation est impossible au regard de la place prépondérante du numérique dans de nombreuses activités.

Les avantages des plateformes no code

En plus de ce contexte, les plateformes no code présentent de nombreux avantages qui expliquent également leur essor :

  • Elles fournissent des fonctionnalités et des services standardisés qui permettent de développer rapidement des projets web simples.
  • Les plateformes no code étant accessibles à tous, elles favorisent les approches collaboratives. Les équipes de conception et de développement peuvent ainsi travailler ensemble, et les applications peuvent être rapidement adaptées suite aux retours des collaborateurs et/ou des utilisateurs.
  • Elles participent à la réduction des coûts de développement. Avec le no code, les entreprises n’ont plus à faire intervenir un développeur. En outre, la collaboration des équipes à la création de l’application favorise leur investissement et donc leur productivité, et permet d’optimiser la durée du développement.
  • Le « go to market », ou mise sur le marché, peut être plus rapide avec les plateformes no code. Cela permet de tester facilement une ou plusieurs idées, d’analyser les comportements des clients et de déterminer les éventuelles améliorations à apporter aux projets web.
  • Les plateformes no code permettent de digitaliser l’ensemble du parcours client : paiement, facturation, envoi d’e-mails ou service client, les entreprises peuvent profiter d’un ensemble de solutions préétablies pour les aider dans leur gestion.

Vous savez désormais pourquoi les plateformes no code rencontrent un tel succès. Mais si vous souhaitez vous lancer dans le no code, vous allez devoir aller plus loin.

Fonctionnement des principales plateformes, choix d’un outil no code adapté à votre projet et retours d’expériences des équipes de The Coding Machine, découvrez tout ce que vous devez savoir sur le no code dans notre livre blanc.

Les différentes techniques de Natural Language Processing

Le Natural Language Processing ou NLP est une branche de l’intelligence artificielle qui développe des programmes informatiques pour comprendre le langage humain.

Pour analyser les textes, différentes techniques de Natural Language Processing sont actuellement utilisées.


Les expressions régulières : une des techniques de Natural Language Processing

Les expressions régulières sont une méthode particulièrement efficace pour traiter un texte. Elle permet notamment de :

  • Faire une analyse rapide de nombreux textes pour trouver des motifs de caractères spécifiques,
  • Découper une chaîne de caractères en paragraphes, phrases et mots,
  • Valider le texte afin de s’assurer qu’il correspond à un modèle prédéfini, comme une adresse électronique.

L’analyse statistique des mots avec TF-IDF

TF-IDF pour « Term Frequency-Inverse Document Frequency » est une des techniques de Natural Language Processing qui offre un premier niveau d’analyse statistique des mots d’un texte.

Elle permet d’évaluer l’importance d’un mot dans un document, en fonction du nombre de fois où celui-ci apparaît, mais compensé par la fréquence globale du mot dans l’ensemble des documents : le corpus.

En effet, certains mots sont tellement répétés dans le corpus, qu’ils ne permettent pas de caractériser en tant que tel un texte. C’est le cas par exemple des mots comme « et », « mais », « le », etc.

Pour détecter les mots-clés d’un texte, il faut donc que le poids TF-IDF associé à un mot soit d’autant plus élevé que le mot est fréquent dans le document considéré et que le mot est rare dans le corpus.


Les modèles de classification de texte

Les techniques de Natural Language Processing dites de classification de texte sont des modèles de machine learning qui fournissent des prédictions de catégorie basées sur un historique d’exemples déjà classifiés, appelé ensemble d’apprentissage.

Il existe différents modèles de classification selon la nature de l’analyse du texte :

  • L’analyse lexicale : classifie les mots selon leur nature grammaticale.
  • L’analyse syntaxique : attribue une fonction aux mots (verbes, sujets, etc.).
  • L’analyse sémantique : permet de classer les mots dans des catégories : lieux, noms propres, etc.
  • L’analyse de sentiment : associe à chaque mot un coefficient de positivité ou de négativité afin de déterminer le sentiment global d’une phrase.

Les modèles de concepts

Pour améliorer les techniques de Natural Language Processing, des linguistes ont recensé les différents concepts associés à un mot dans des bases de données lexicales. Ces concepts correspondent aux différents sens que peuvent prendre un même mot.

Une des plus connues s’appelle WordNet, construite par l’Université de Princeton.


Les modèles de prolongement prédictif des mots

Les modèles de plongement prédictif de mots utilisent des réseaux de neurones artificiels pour apprendre statistiquement une représentation vectorielle de chaque mot présent dans le texte.

Le vecteur associé à chaque mot prend en compte le contexte dans lequel il est apparu tout au long du texte. Cela permet d’avoir une représentation numérique avec les propriétés grammaticales et sémantiques des mots.


Les modèles statistiques de langage

Un des objectifs des modèles statistiques de langage est de construire un modèle qui peut estimer la distribution du langage naturel de manière aussi précise que possible.

Ce type de techniques de Natural Language Processing s’adapte à des textes très différents et permet de fournir un moyen simple de traiter le langage naturel, tout en utilisant un apprentissage non supervisé.


Les graphes de similarité

Ce type de techniques de Natural Language Processing est inspiré de l’algorithme PageRank de Google. Il permet de détecter des groupes de mots caractérisant un texte.

Un texte est modélisé par un graphe constitué de nœuds et d’arêtes représentant des groupes de mots du texte et la fréquence à laquelle les deux groupes apparaissent ensemble dans le texte.


Pour en savoir plus sur le NLP et découvrir toutes les techniques de Natural Language Processing, n’hésitez pas à télécharger notre livre blanc.

3 exemples d’utilisation du NLP

Avec la digitalisation des entreprises et la multiplication des communications numériques, l’Intelligence Artificielle se développe de plus en plus, et avec elle différentes techniques de simulation et d’apprentissage, parmi lesquelles le Natural Language Processing ou NLP.

Ressources humaines, marketing et industrie, plongez au cœur de 3 exemples d’utilisation du NLP.


Qu’est-ce que le Natural Language Processing ?

Le Natural Language Processing ou Traitement Automatique de Langage est un ensemble de techniques qui aident une interface machine à comprendre le langage humain. Il permet de lire, d’analyser et de traiter automatiquement des contenus textuels (tweets, articles de bloc, etc.) et d’en tirer les informations nécessaires grâce à un processus de transformation, de compréhension, de classification ou encore de recherche.

L’utilisation du NLP permet aux entreprises d’optimiser un certain nombre de leurs processus dans des domaines différents, de gagner du temps et ainsi d’améliorer leurs performances.


L’utilisation du NLP dans les ressources humaines

Tout responsable des RH le sait, le recrutement et la gestion interne des compétences sont des processus qui prennent beaucoup de temps. C’est notamment le cas de la réception, du tri et de l’examen des CV. Cette mission indispensable des ressources humaines qui permet de présélectionner des candidats avant d’envisager de leur faire passer des entretiens de recrutement, et également une tâche qui peut s’avérer particulièrement chronophage !

Le Natural Language Processing répond à ce besoin en suivant un pipeline de collecte des données qui structure et transforme en tags les différentes informations. Les algorithmes de NLP peuvent ainsi : 

  • Déterminer la nature du document reçu (CV, lettre de motivation, contrat de travail, etc.),
  • Détecter les compétences ou mots-clés (diplômes particuliers, compétences informatiques, maîtrise de certains langages de programmation comme PHP 8 et PHP 8.1, etc.),
  • Construire des indicateurs pour repérer les candidats potentiels,
  • Faire matcher les candidatures avec les offres d’emploi mises en ligne.

L’utilisation du NLP est donc un gain de temps considérable pour les RH qui peuvent dès lors se concentrer sur d’autres missions comme la réalisation des entretiens.


L’analyse automatisée de la satisfaction client

Alors qu’il coûte cinq fois plus cher de recruter un client que de le conserver, la satisfaction et la fidélisation des clients sont des enjeux cruciaux pour toutes les entreprises. Facteur de rentabilité, mais également élément de distinction vis-à-vis de la concurrence, les entreprises ont tout intérêt à suivre leurs clients et à connaître leurs avis.

Dans ce cadre, l’utilisation du NLP permet d’automatiser la détection, l’analyse et la surveillance de la satisfaction client grâce à différents outils :

  • Rechercher les sites web clés dans la satisfaction client et charger les contenus.
  • Détecter les messages dans lesquels on parle de votre entreprise ou d’un de vos produits.
  • Analyser le sentiment et la tonalité du message : avis positifs, réclamations, etc.
  • Mettre en place un chatbot qui pourra répondre aux clients en temps réel et ce, 24h/24.
  • Obtenir une vision globale de la satisfaction de vos clients grâce une agrégation de l’analyse sur un tableau de bord.

La gestion de la maintenance assistée par l’IA

Dans les secteurs de l’industrie et de l’énergie, le recours à l’intelligence artificielle s’accélère, notamment pour l’entretien des machines. L’IA aide à : 

  • Diagnostiquer en temps réel l’état de fonctionnement des équipements,
  • Localiser et analyser les risques futurs de défaillance technique,
  • Planifier les réparations des machines en mettant en place un plan de maintenance prédictive.

L’utilisation du NLP dans ces secteurs permet de repérer et de classifier les mots-clés d’un texte afin de décrire un événement de maintenance, de rechercher facilement et corréler ces données et de les utiliser avec des algorithmes de Machine Learning pour construire un plan de maintenance prédictive.


Avec le Natural Language Processing, le champ des possibles est donc large ! Si vous souhaitez en apprendre davantage sur l’utilisation du NLP, n’hésitez pas à télécharger notre livre blanc.

Création d’appli, quelle technologie choisir ?

Pour accéder à certains services, communiquer avec d’autres personnes, faire des achats, jouer ou visionner des vidéos, les applications mobiles sont partout ! Dans ce contexte, la création d’appli est devenue incontournable pour de nombreuses entreprises.

Mais avant de lancer une application mobile, encore faut-il savoir laquelle !

Native, hybride, PWA, cross-platform, tour d’horizon des différentes technologies à votre disposition.

L’application native, pour une expérience utilisateur optimale

Les applications mobiles natives sont conçues pour une plateforme particulière : Android, iOS, Windows Phone. Optimisées pour la plateforme pour laquelle elles sont conçues, elles offrent une excellente expérience utilisateur avec notamment un chargement très rapide, une utilisation sans connexion Internet et la possibilité d’intégrer de nombreuses fonctionnalités (appareil photo, capteur biométrique, gyroscope, etc.).

  • Points positifs : Les utilisateurs profitent d’une appli haute résolution, performante et ergonomique avec des fonctionnalités avancées.
  • Revers de la médaille : En optant pour la création d’appli native, vous devez développer une application spécifique avec un langage différent (Swift pour iOS, Java pour Android, etc.) pour chaque plateforme. Une application native impose donc de lancer non pas un, mais deux projets : un pour Android et un pour iOS, avec pour chacun un ou plusieurs développeurs (développeur Java pour une appli sur Android, etc.). Cette multiplication des projets et des intervenants entraîne forcément une augmentation des coûts et du temps nécessaire au développement de ces applications.

Entre appli web et appli native, la création d’appli hybride

Les applications mobiles hybrides sont développées avec des langages web ou Webview (HTML, JavaScript, CSS) et utilisent un framework comme Apache Cordova ou Ionic Framework qui permet de déployer l’appli sur les différentes plateformes mobiles (iOS, Android, Windows Phone) et ce avec une seule base de code.

  • Intérêts : Les technologies web étant connues de la plupart des professionnels du développement informatique, il est plus facile de trouver un développeur capable de suivre ce type de projet, ce qui rend les applis hybrides plus accessibles financièrement que les natives.
  • Inconvénients : Ces applications sont moins rapides et offrent donc une expérience utilisateur moindre que les natives.

Applications multiplateformes, un langage pour des performances optimisées

Reprenant le principe des applications hybrides associant technologies web et frameworks, les applis cross-platform sont développées avec de nouveaux frameworks tels que React Native de Facebook, Flutter de Google, ou NativeScript.

  • Avantages : La création d’appli cross-platform permet de profiter d’une application mobile sur les différents systèmes d’exploitation, avec des performances et des possibilités proches des applis natives.
  • Points de vigilance : Ce type d’appli nécessite de trouver des développeurs maîtrisant ces techniques, d’où une hausse des coûts.

Progressive Web App, des technologies web pour des applis simples

Apparues pour la première fois en 2015, les PWA permettent de développer, grâce aux technologies web et notamment JavaScript, une seule application qui sera utilisable sur tous les supports (ordinateur, tablette, mobile) et ce quel que soit le navigateur web.

  • Atouts : La création d’appli web n’impose pas de développer plusieurs versions de l’application, ce qui permet de gagner du temps et diminue les coûts de développement. De plus, le service worker des PWA participe à la fluidité de ces applis et permet de les faire fonctionner hors-ligne.
  • Difficultés : Les applis web n’offrent pas les mêmes possibilités que les applications mobiles en termes de fonctionnalités. Si les PWA peuvent profiter de l’appareil photo des smartphones, elles ne peuvent tirer profit de certaines fonctionnalités plus avancées comme le capteur biométrique.

Comment faire le bon choix lors d’une création d’appli ?

Performance, budget, expérience utilisateur, fonctionnalités, chaque application a des atouts et des inconvénients. La bonne appli ne sera pas celle qui offre le plus de fonctionnalités ou la meilleure performance, mais celle qui correspondra le mieux à votre projet de développement mobile. Pour faire le bon choix, vous devrez donc vous poser certaines questions avant de lancer la création d’appli :

  • Qui utilisera l’appli (appli B2B ou B2C) ?
  • Que pourront faire les utilisateurs via l’appli (regarder des vidéos, se localiser, jouer, etc.) ?
  • Quelles sont les fonctionnalités que vous souhaitez intégrer à votre appli ? Les prioritaires et les optionnelles ?
  • Quel délai avez-vous pour faire aboutir votre projet mobile ?
  • Quelles sont les compétences de vos équipes techniques ?
  • Quel est votre budget pour la création d’appli ?

Vous souhaitez créer une application et hésitez encore entre les différentes possibilités qui s’offrent à vous ? Pour vous aider à y voir plus clair, n’hésitez pas à prendre connaissance de nos livres blancs sur les applis React Native et les PWA.

Gérer les risques d’un projet web : 4 étapes clés

Retard dans le déploiement, coûts supplémentaires, inadaptation des fonctionnalités à vos besoins, développer un projet n’est pas sans risques !

Mais des solutions existent pour identifier et gérer les risques d’un projet web à différentes étapes clés.

Anticiper les risques d’un projet web dès la conception

Tout projet débute par l’élaboration d’un cahier des charges web qui permet de délimiter le périmètre du projet en fonction de vos besoins et évite de s’éparpiller. Pour être efficace et servir de repère aux différents intervenants, celui-ci doit d’être clair et facilement interprétable.

Côté technique, si vous n’avez pas de solides compétences, n’hésitez pas à faire appel à un prestataire extérieur reconnu pour son expertise. Il sera à même de vous conseiller et de vous proposer des solutions adaptées à vos besoins.

La conception de votre projet sera ainsi facilitée et certaines erreurs pourront être évitées.

Pour limiter les risques d’un projet web, vous devez toutefois être vigilant sur deux points concernant les prestataires extérieurs :

  • Choisissez vos prestataires pour leurs compétences, leurs références, et pas seulement pour leurs tarifs, au risque de voir s’ajouter des coûts supplémentaires qui pourraient plomber voire bloquer l’avancement de votre projet.

  • Déléguer le développement technique ne signifie pas abandonner votre projet à un prestataire. Gardez donc toujours un œil sur l’évolution du projet.

Éviter la complexité pour les fonctionnalités

Le risque se crée et s’alimente en voyant trop grand dès le début. Plus le périmètre est large, plus vous apportez de la complexité et plus vous laissez de la place au risque. Pour éviter cet écueil, avancez progressivement dans votre projet.

Commencez par concevoir de petites fonctionnalités qui pourront par la suite être améliorées et/ou auxquelles vous pourrez ajouter des fonctionnalités supplémentaires, plus complexes.

En effet, le risque en développant de nombreuses fonctionnalités est que certaines ne serviront jamais. Or, ce développement inutile de fonctionnalités vous fera perdre du temps et de l’argent.

Gérer les risques d’un projet web pendant son développement

Une fois le cahier des charges rédigé et les fonctionnalités définies, il est temps de passer à l’action et d’entrer dans la phase de développement. Mais pour que cette étape se passe bien, il vaut mieux la préparer :

  • Fixer des points d’avancement réguliers avec les différents acteurs du projet afin de limiter les retards de production.
  • Assurer une communication continue avec une transmission régulière des informations, l’évolution de son développement, les éventuelles difficultés rencontrées, et la gestion des risques du projet.
  • Prévoir des recettes intermédiaires avec des bêta-testeurs afin d’impliquer des utilisateurs dès la conception et à différents stades du développement.

Tester votre projet avant son lancement

Votre projet est sur le point d’être lancé ? Ce n’est pas le moment de foncer tête baissée, mais gardez toujours à l’esprit que les dernières failles peuvent apparaître juste avant d’atteindre la ligne d’arrivée.
Pour éviter d’avoir de mauvaises surprises une fois le lancement réalisé, il est indispensable de tester préalablement votre projet. 

Vous évitez ainsi l’effet tunnel, qui consiste à développer pendant une longue période sans faire intervenir les utilisateurs. Le risque est alors de développer un projet qui ne correspond pas du tout aux besoins de vos clients.

Au contraire, si vous avez réalisé des recettes intermédiaires tout au long du développement, les anomalies de base seront déjà réglées. Il ne vous restera que quelques ajustements à réaliser pour offrir une utilisation optimale de votre application aux utilisateurs.

Vous connaissez désormais l’essentiel sur la gestion des risques d’un projet web !

Si vous souhaitez découvrir nos conseils pour identifier certains signaux de risques, prenez le temps de lire notre livre blanc sur le sauvetage de projet, ou contactez les équipes de The Coding Machine pour leur présenter votre projet et les problématiques auxquelles vous faites face.

sauvetage de projet